Catégorie : Actualités

Un très bon cru pour cette édition organisée le soir de la fête de la musique. Merci à Mateus, à Noémie, et à tous les bénévoles, jeunes et moins jeunes, beaucoup plus nombreux que l’an dernier! Rendez-vous le vendredi 20 juin 2025!

Le 8 juin dernier, une centaine de personnes, accompagnées ou surprises par des artistes du quartier, a déambulé dans nos rues et impasses. Rendez-vous en 2025 pour une deuxième déambulation!

Tous les jeudis, de 18h30 à 20h30 dans la cour de la maison de quartier, l’AMAP vous propose des paniers de légumes bio et de saison disponibles mais également de nombreux nombreux autres produits comme du miel, des fruits, des légumineuses, des huiles essentielles, de la viande (poulets, veau, bœuf), du pain…

L’École du Nord, école publique du boulevard d’Arcole, fréquentée par une partie des élèves de notre quartier risque fort de perdre une classe à la prochaine rentrée, ce qui imposerait des classes à double niveau et à fort effectif. Les parents d’élèves de l’école se mobilisent contre cette décision. Soutenons leurs initiatives. Nous vous tiendrons au courant des actions entreprises via Chalets Flash et sur notre site web.

400 000 euros sont fléchés par « grand quartier »: en ce qui nous concerne le quartier 3 (Chalets, Bayard, Belfort, Saint Aubin, Dupuy, François Verdier). Votez pour les Chalets!

Depuis peu, l’État prône le développement des RER dans les grandes métropoles comme outil important de développement des transports en commun, pour pallier les embouteillages qui asphyxient ces métropoles avec les pollutions qui les accompagnent. Il met sur la table 800 millions d’euros pour contribuer aux projets des métropoles. Si les agglomérations de Bordeaux et de Strasbourg ont des projets prêts, celle de Toulouse n’a aucun projet et risque fort de passer à côté de ces financements, sinon quelques broutilles pour financer de nouvelles études.

L’occupation du 36, rue Roquelaine est terminée. Malgré la loi DALO qui imposait à la Préfecture de reloger les familles, rien n’avait été prévu, à part un mois d’hôtel. C’est donc le DAL (Droit Au Logement) qui a du trouver des solutions plus ou moins précaires et a remis les clés à la Préfecture.