Notre quartier est le premier à avoir expérimenté le stationnement résident en 2007. Victime de son succès, le stationnement résident montre aujourd’hui ses limites en soirée où il n’est pas rare de tourner longtemps avant de trouver une place. Chaque construction nouvelle, chaque réhabilitation suivie d’une division en appartements plus petits, se traduisent par un plus grand nombre de véhicules stationnés sur la voie publique. Ne faut-il pas revenir, dans le futur PLUi-H, à la norme d’une place de stationnement par logement ? 

Notre association a conscience des demandes inconciliables des résidents : plus de places de stationnement, mais aussi plus de place pour les piétons et les vélos, plus de végétalisation. La solution : ne plus accepter de surélévations ou de morcellements d’habitations en appartements dans notre quartier déjà très dense.